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Vaccins contre la grippe saisonnière et H1N1 : vers une épidémie de maladies neuro-dégénératives et de décompensations chez les personnes fragiles

Un article du Dr Marc Vercoutère – 13 septembre 2009

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Selon le Vidal des professionnels élaboré par les fabricants de vaccins – qui ne fournissent que 1% de leurs données aux autorités (Michel le Duff, directeur du CRIM) - on peut craindre – au minimum, les chiffres pouvant être multipliés par plus de 10 - avec les vaccins contre la grippe saisonnière :

En 1984, une étude  de chercheurs de l’Université de Vienne en Autriche avait déjà mis en évidence, avec le vaccin contre le tétanos, comme avec les vaccins couplés, diphtérie, tétanos, polio et coqueluche, un affaiblissement du système immunitaire comparable à celui observé au cours du sida. Entre 7 et 14 jours après la vaccination, les évaluations moyennes des rapports CD4/CD8 étaient significativement plus basses chez l’ensemble des sujets âgés de 25 à 50 ans qu’avant la vaccination, avec pour certains des taux comparables à ceux observés en cas de sida. Un mois plus tard, ce rapport CD4/CD8 revenait à la normale. (New England Journal of Medicine, vol 310, 1984).

The New England Journal of Medicine du 9 mai 1996, nous signalait  que « la réplication du VIH est augmentée après administration du vaccin grippal à des patients infectés par le VIH. De plus, la vaccination semble augmenter la susceptibilité à l’infection in vitro des lymphocytes des personnes non infectées ». Dès 1987, le Pr Luc Montagnier avait d’ailleurs, fort logiquement mais vainement, suggéré le dépistage de la séropositivité avant de vacciner.

Ajoutons que par l’utilisation d’ARN double-brins qui exercent une régulation du noyau et donc des gènes des cellules de la personne vaccinée, certains gènes sur la chaîne d'ADN et notamment chez les personnes âgées sont bloqués. Il en résulte un fonctionnement anormal des cellules, au premier plan desquelles les neurones ! D'où la floraison grandissante des Alzheimer actuels, au rythme de 250 000 nouveaux chaque année en France, pour lesquels la pollution électromagnétique n’est pas non plus étrangère. (Travaux d’Andrew Fire et Craig C. Mello, sur les mécanismes biologiques contrôlant les flux d'informations génétiques qui leur a valu le Prix Nobel de Médecine et Physiologie 2006).

On peut donc s’attendre à des perturbations sévères du système immunitaire pendant dix semaines chez toute personne qui recevra le vaccin saisonnier puis les deux piqûres du vaccin pandémique. Ces perturbations seront plus marquées chez les personnes dont le système immunitaire est modifié par la grossesse (800 000 personnes) ou perturbé par une maladie chronique (9 millions de personnes) ou encore chez les 2 millions d’enfants de moins de 2 ans plus fragiles sur le plan immunologique.

À ces complications communes aux vaccins saisonnier et pandémique et dont la fréquence va s’accroître avec le cumul des doses, il faudra ajouter les complications auto-immunes en relation avec les adjuvants (aluminium, squalène, voire mercure qu’aurait ajouté GlaxoSmithkline) utilisés dans les vaccins pandémiques.

Ainsi, en plus des dizaines de milliers de malades qui subiront une décompensation de leur maladie qu’il s’agisse de diabète, d’asthme, de bronchite chronique, de maladie d’Alzheimer ou encore de cancer, il faudra ajouter « plusieurs dizaines de milliers de complications, imputées à tort ou à raison au vaccin, comme on a eu la sclérose en plaques avec celui de l’hépatite B » (Pr Marchou, chef du service des maladies infectieuses au CHU de Toulouse le 26 juillet dernier dans le Journal du Dimanche). Entre 1994 et 2006, 30 millions de français ayant été vaccinés, nous sommes ainsi passés de 20 000 scléroses en plaques à 80 000 !

Conscient de ces risques, Daniel Floret, du Comité technique des vaccinations, reconnaît que « Chez les enfants, les femmes enceintes dont le système immunitaire se modifie et les personnes immunodéprimées, il existe un risque de déclencher des maladies auto-immunes ». C’est pourquoi un vaccin sans adjuvant serait à l’étude afin de réduire ce risque !

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Dr Marc Vercoutère

 

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