AUX ÂMES,CITOYENS !

Pour en finir avec la République Bananière,
les voleurs, les menteurs et les tueurs…

Christian COTTEN - 15 mars 2002

Octobre 94 : à la veille des massacres en Suisse de l’Ordre du Temple Solaire, Charles PASQUA déjeune à Annemasse avec le policier Pierre LARDANCHET, membre de l’OTS et futur « meurtrier » du Vercors.

Avant la Présidentielle de 95, PASQUA organise une opération de déstabilisation du juge HALPHEN, pour l’empêcher d’enquêter sur le financement illégal du RPR.

CHIRAC élu, les affaires et les enquêtes continuent. Il faut trouver un contre-feu pour empêcher des découvertes gênantes sur le niveau de la corruption politique dans ce pays, équivalent à celui de l’Italie il y a peu.

Les obédiences maçonniques politico-affairistes - la Grande Loge Nationale de France, avec quelques membres du Grand-Orient – et les courants intégristes de l’Église , déploient alors l’épouvantail des sectes : effrayer les Français avec « les sectes » sera le meilleur moyen de cacher les affaires de corruption.

Début décembre  95 : 1er reportage truqué sur France 2, pour désigner à la vindicte populaire une bien innocente communauté agraire de la Drôme, comme « secte » dangereuse.

22 décembre 95 : le Rapport Parlementaire sur les Sectes désigne près de 200 groupes, la plupart innocents de tout délit et de tout reproche, comme « sectes dangereuses ». Rapport voté à l’unanimité de tous les groupes, par 7 députés présents.

23 décembre 95 : découverte des 16 cadavres de l’Ordre du Temple Solaire dans le Vercors. Drogués, tués par balle, leurs corps ont été brûlés au lance-flammes avec du phosphore, produit uniquement maîtrisé par l’armée (expertise LAVOUÉ, avril 2001). Dans les heures qui suivent, le psychiatre franc-maçon Jean-Marie ABGRALL, formé par les militaires de la DGSE, s’auto-désigne « expert » et donne 54 interviews avant toute enquête : « c’est un suicide d’illuminés ».

5 janvier 96 : des centaines de gendarmes et de policiers sont mobilisés pour des descentes au petit matin dans différents groupes agraires, écologistes, scientifiques, thérapeutiques, spirituels, « new age », au nom de la « chasse aux sectes » ; la paranoïa est soutenue par les « journalistes » aux ordres des obédiences maçonniques (LELAY, PDG de TF1, membre de la GLNF) : homéopathie, yoga, ji-gong, groupes spirituels divers, scientifiques de haut niveau, végétariens… tous ceux qui contestent la société d’hyper-consommation et la pensée unique sont pourchassés au motif de « secte », sans aucun fondement sérieux. Les opérations policières de début janvier avaient été ordonnées avant l’affaire de l’OTS.

Aux âmes, citoyens ! Réveillons-nous ! Les élites politiques ne savent plus faire face aux organisations mafieuses qui les utilisent et corrompent les institutions de la République. C’est une véritable Loge P2 à la française qui gère désormais l’État et la justice : les juges indépendants et honnêtes démissionnent, faute de pouvoir faire leur travail contre les trafics financiers mafieux qui ruinent l’État et les citoyens et détruisent la démocratie et la justice.

Prochaine élection présidentielle : votons pour n’importe qui, sauf pour l’Un, gangster d’État et menteur infantile – CHIRAC - , sauf pour l’Autre, - JOSPIN - qui laisse le premier faire en toute impunité et organise un état dictatorial qui persécute les minorités spirituelles ou thérapeutiques et tous ceux qui veulent vivre libres.

Prochaines élections législatives : votons pour n’importe qui, sauf pour des fonctionnaires (60 % des députés actuels) ;  sauf pour des francs-maçons (plus de 50% des députés actuels) ; sauf pour des hommes (90% de l’assemblée).

Nos prochains députés : des femmes, non-fonctionnaires, indépendantes de la franc-maçonnerie et qui s’engagent :

  • à voter, comme en Italie et en Angleterre, une loi stricte de séparation de l’État et de la Franc-Maçonnerie, pour protéger la justice de l’instrumentalisation par les organisations mafieuses et maçonniques qui protègent, au nom de la « solidarité fraternelle », délinquants et criminels en col blanc ;

  • à protéger la liberté de conscience et à défendre les minorités spirituelles et thérapeutiques (dont la franc-maçonnerie, quand elle respecte les lois de la république...).

À l’heure du droit européen, les magistrats francs-maçons sont-ils des délinquants ?

Nous invitons les lecteurs de ce communiqué à
le diffuser le plus largement possible jusqu'aux prochaines élections législatives

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