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Faire face au terrorisme vaccinal du N.O.M. ?

Liste anti-sioniste aux élections européennes – Réunion publique du 1er juin 2009 – Intervention de Christian Cotten - Théâtre de la Main d’Or.

En vidéo sur Daily Motion


Cotten Christian: LE 01/06/09 conférence liste antisioniste
envoyé par centre-zahra-france - L'info video en direct.

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Notre ami Marc Georges m’a proposé 5 minutes sur le thème « santé ». Je vais donc vous parler de bande dessinée. Plus exactement de celle d’Astérix le Gaulois. Et plus particulièrement du personnage de Panoramix, que tout le monde a vu en image ou au cinéma, le druide cueilleur de gui et grand touilleur d’herbes, qu’il mélange et fait bouillir pour fabriquer sa potion magique miraculeuse.

Je m’appelle Christian Cotten, psychosociologue, animateur du site PolitiquedeVie.net

Sans doute depuis la nuit des temps, sans doute dans toutes les tribus et cultures du monde, la médecine est une affaire de sorciers, magiciens, chamans, hommes-médecines : la fonction sacerdotale, représentée par l’archétype gaulois du druide de bande dessinée, donne tout autant prêtres, curés, imams, rabbins que magistrats en robes noires et médecins en robes blanches.

Sans doute depuis la nuit des temps, magiciens, sorciers et herboristes – médecins et guérisseurs - ont aidé leurs frères humains à mieux vivre et mieux mourir. Dans le même temps, les mêmes – ou quelques-uns d’entre eux, « jouent aux cons ». Autrement dit, de toute éternité, l’on trouve autant d’herboristes-guérisseurs que d’herboristes-empoisonneurs, par intention ou par erreur, mais trop souvent menteurs, voleurs et tueurs.

Même si l’humain a su évoluer en matière de technologies de maîtrise de la nature, il n’est guère difficile de constater que l’humain n’a guère grandi en sagesse : dans nos sociétés modernes, les herboristes-empoisonneurs continuent leurs sinistres offices. Aujourd’hui, ils s’appellent laboratoires pharmaceutiques multinationaux et fabricants de vaccins ou de semences génétiquement modifiées.

Si la taille et les moyens d’actions ont changé, les principes fondamentaux sont restés les mêmes : fantasme mégalomaniaque de toute puissance, sentiment de vérité, prétention démesurée à des pouvoirs magiques prétendus scientifiques. Nous avons au moins pour partie dans nos sociétés modernes retiré au sorcier ou curé de village le pouvoir magique de guérir mais nous l’avons donné en lieu et place aux représentants des religions prétendument rationnelles.

Nombre de scientifiques dissidents ont démontré depuis longtemps que les systèmes scientifiques officiels fonctionnent en réalité comme des religions, sous leurs plus mauvais aspects : croyances limitantes et illusoires, dogmes rigidifiés et obsession du contrôle des corps, des sexes et des consciences, qui se traduisent notamment par la chasse aux chercheurs créatifs hors normes.

Et les résultats commencent très sérieusement à devenir catastrophiques : les alchimistes noirs de la science, enfermés dans leurs systèmes de croyance et leur avidité financière, nous fabriquent depuis quelques décennies ce que je nommerai « l’enfer des molécules » : vaccins-poisons, OGM, pesticides et autres herbicides, sans parler des milliers de produits industriels, qui se retrouvent dans nos assiettes et nos égouts, nos champs et nos corps, entraînant des nouvelles générations d’enfants bien plus souvent et lourdement malades que celles de leurs parents et provoquant de façon de plus en plus évidente une défertilisation des mâles de l’espèce humaine.

Un des premiers problèmes politiques de l’heure devient ainsi à mes yeux celui-ci : comment guérir la médecine et les médecins, comment soigner les chimistes fous, comment arrêter les délires paranoïaques de toute puissance des scientifiques sans éthique, qui n’hésitent plus désormais à utiliser les moyens les plus extrêmes pour continuer à faire tourner un système de santé qui est devenu un système de création de maladies et de mort ?

Les hôpitaux, dont nous sommes parfois si fiers, certes, savent faire de très beaux miracles, du côté, notamment, des chirurgies d’urgence ou de réparation vitale des accidents de la nature et ils savent ainsi sauver de nombreuses vies. Mais combien de malades et de morts liés aux maladies nosocomiales, aux croisements inattendus des effets secondaires de milliers de médicaments dont plus personne ne peut raisonnablement anticiper les croisements hasardeux et malsains ? Combien d’handicapés suite aux campagnes de vaccinations massives contre l’hépatite B, ces dernières décennies ? Combien de vieillards qui sombrent dans Alzheimer pour avoir trop consommé de mercure, de formol et d’aluminium dans des vaccins anti-grippaux parfaitement inutiles, sauf pour les éliminer des comptes sociaux ? « Si vous voulez tuer vos enfants et vieillards en surnombre, vaccinez-les ! » Tel pourrait être le slogan des idéologues malthusiens obsédés de la réduction de la population de la planète terre.

Avez-vous remarqué ce nom si subtil que porte l’un des derniers vaccins des magiciens noirs, censé protéger les femmes du cancer du col de l’utérus ? Le Garde-Asile. Ce mot est dit bien long sur l’inconscient de quelques-uns. Vaccin que l’on injecte à force de mensonges et de manipulations aux jeunes adolescentes à partir de 12 ans. Plusieurs en meurent en 24 heures, aux États-Unis ou en Europe. Les promoteurs de ces vaccins savent bien qu’un certain pourcentage de morts ou de handicapés est au rendez-vous, au nom du principe d’un rapport bénéfices-risques qui conduit à la certitude d’un certain nombre de morts face à une vague probabilité de quelques malades vingt ans plus tard.

J’affirme très posément qu’un certain nombre de chimistes et de médecins de cette planète organisent en toute conscience et sans état d’âme la mort programmée de milliers de victimes des vaccins-poisons, OGM et autres « molécules de l’enfer », qui nous sont imposés par le processus cyclique manipulatoire : création d’un faux problème – peur – solution industrielle marchande.

Et ce, sur la base du même raisonnement eugéniste qui a justifié idéologiquement les camps de la mort qui resteront la marque du XXème siècle : « éliminons les humains en surnombre en empoisonnant les plus faibles, ce sera toujours plus discret que les bombes ou les massacres à la machette et l’humanité la plus pure sera ainsi sauvée…».

Qui accompagnait Petit Nicolas le 9 mars dernier à Mexico lors de son séjour officiel chez un des banquiers parrains de la mafia mexicaine ? Quelques dirigeants des laboratoires Sanofi-Aventis-Pasteur, qui signaient ce même jour un contrat de 100 millions d’Euros pour la construction d’une usine de vaccins antigrippaux. Quelques jours avant la « découverte » d’un providentiel virus mexicano-porcin. Avant hier, la presse nous annonçait une campagne inégalée à ce jour de vaccination massive et obligatoire de toute la population occidentale pour l’automne prochain. Avec quoi les herboristes fous de Sanofi-Pasteur ont-ils drogué les cerveaux de leurs spécialistes en prospective pour qu’ils soient si forts : prévoir, avant même que l’on sache quoi que ce soit sur ce virus humano-porcino-aviaire, qu’il fallait construire dès maintenant l’usine de fabrication d’un vaccin qui n’est pas encore découvert pour une grippe – le rhume banal de nos hivers, désormais rebaptisé par Les Guignols de l’Info « la grippe Sanofi »– portée par un virus que la planète entière ignore encore superbement, malgré les quelques chiffres alarmants mais sans aucun fondement sérieux délivrés par les discours officiels ?

Ce que je trouve particulièrement réjouissant dans cette histoire-là est la vitesse à laquelle le mensonge est dévoilé, grâce aux scientifiques dissidents et à Internet : plus un seul citoyen qui fait aujourd’hui l’effort de s’informer lucidement ne peut croire ce que racontent les discours officiels de la santé et leurs fidèles serviteurs les « journalistes » : c’est tout de même une belle réussite de cette volonté farouche de se libérer du Nouvel Ordre Mondial qui anime tant d’humains désormais.

Force est donc de faire ce constat : le peuple des citoyens libres et souverains ne peut plus accorder confiance à ses élites, y compris et surtout peut-être ses élites scientifiques : trop de mensonges, trop de violences, trop de poisons, trop de morts.

Il se pourrait que la sortie de cette rupture de confiance entre citoyens et élites scientifico-médicales soit à chercher du côté des femmes.

Il fut une époque, en ces beaux pays d’Europe, lorsque les mâles barbares de l’Inquisition Catholique et Romaine brûlaient les femmes sur les places des villages les jours de fête du Saigneur (avec un « a ») au motif de sorcellerie, où le champ de la santé était essentiellement le privilège des femmes, pour une raison fort simple : ce sont les femmes, jusqu’à révision de ce réel-là, qui portent les enfants, leur donnent naissance et veillent à leur santé tout au long de leur vie.

C’était aux temps obscurs où le Scientifique n’était pas encore séparé du Mystique.

Oh, certes, avec cette séparation-là nous avons perdu les beautés des philosophes scientifiques qui ont fait les grands noms de l’histoire de la pensée, mais nous y avons gagné les sciences laïques et leurs technologies profanes, qui nous ont offert tous ces prolongements de nos corps, pieds et mains, oeils et oreilles, cerveaux, sexes et langues… dont nous jouissons chaque jour.

Dans le champ de la santé, les femmes accoucheuses, faiseuses d’ange, sorcières-guérisseuses, prostituées sacrées… ont ainsi perdu leurs pouvoirs sur les corps des autres, au profit des mâles scientifiques, ingénieurs en chimie ou chirurgiens militaires.

Et la médecine est ainsi devenue masculine : militaire et chirurgicale, pour faire repartir à la guerre les corps meurtris, puis industrielle et enfin commerciale et financière. Certes, les médecines masculines sont indispensables dans les situations d’urgence. Mais ce sont les médecines féminines – dites médecines douces, naturelles, alternatives – qui, seules, savent prévenir et accompagner avec les indispensables énergies de l’amour et de la conscience vers la guérison. Il faudra bien un jour prochain réussir à réconcilier ces médecines féminines et les médecines masculines, si nous voulons échapper aux violences faites à nos corps par les folies collectives.

La santé est d’abord un chemin intérieur et non pas un « miracle » que médecins et guérisseurs nous offriraient par leurs savoirs : mais rien ni personne ne peut ni ne doit nous obliger à accepter les atteintes à l’intégrité de nos corps que fabriquent nos industriels chimistes et autres, en empoisonnant air, terres et mers à coups de chimies folles ou d’ondes électromagnétiques qui tuent nos neurones.

Le Sionisme militant et politique est devenu désormais le bras armé apparent de la tentative d’instauration d’un Nouvel Ordre Mondial qu’une poignée d’humains tente d’imposer à tous les peuples de la terre par le mensonge, le vol et les tueries. Les temps sont venus pour que les humains libres et souverains prennent conscience de ceci : nous sommes les plus nombreux et nous sommes capables d’opposer pacifiquement la puissance de l’amour et de la conscience aux folies meurtrières des associations de criminels mafieux qui tentent de mettre sous coupe réglée la planète tout entière, que ce soit avec le charme discret des poisons de la chimie ou la barbarie grossière des armes.

J’affirme ainsi mon engagement sur la Liste Anti-Sioniste, pour dire Non aux Forgerons de l’Empire : je ne veux plus voir les enfants de cette planète mourir des délires paranoïaques des élites financières et militaires qui nous imposent la dictature du Nouvel Ordre Mondial. Petit Nicolas nous a prévenus : « Personne ne pourra s’opposer au Nouvel Ordre Mondial ». Justement, si : nous sommes les plus nombreux. Il est temps de les arrêter par la force pacifique du Verbe et le dévoilement de tous leurs mensonges. Merci de votre attention.

Christian Cotten, psychosociologue,

Président de Politique de Vie

1er juin 2009.

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